il y a de tout dans le gros eolien, mais la tendance serait a reduire le plus possible la mécanique source de pertes et de bruit; et d'entretien, je pense à la photo de bobiniers allemands travaillant sur des stators les depassant trois à 4 fois en diametre parue dans revue SKF...Donc un big nombre paire de poles. Mais enfin dans ce qu'on a coutume de voir sur les champs d'eoliennes dans le sud de la France, vu les proportions et la forme des habitacles on dirait bien que c'est classique reducteur + géné en ligne
la solution retenue pour l'interface avec le 50hz est un onduleur
quand au passage dans la tour, je pense a un jeu de bagues traditionnel , systeme lourd mais qui a fait ses preuves de robustesse dans l'industrie depuis 100 ans. Evidemment sur les centrales off shore pas glop avec les embruns la tenue de l'isolation...
il faut aussi penser a l'acces des braves gars de la maintenance... sportifs et aguerris... (les grosses remontées mécaniques et les grues c'est de la gnognotte à coté...) , ils doivent passer par l'interieur de la tour, se taper des milliers de barreaux d'echelle, se contorsionner pour passer par des trous d'homme, la caillante et malgré tout devoir quitter les gants pour pouvoir bosser...
Jeumont Schneider avait sorti une machine synchrone à aimants (puissance autour du MW) en type champ axial discoïde pour l'éolien ou pour la big propulsion marine... Mais chaque constructeur a ses petites marottes : asynchrone, synchrone,